tag:blogger.com,1999:blog-3426319602108378766.post5535460927700471354..comments2024-03-11T12:48:43.486+01:00Comments on Radio Fañch: Les nuits blanches de Radio France…Fañchhttp://www.blogger.com/profile/10175435973936066712noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-3426319602108378766.post-41897914864682145612012-03-07T14:11:54.919+01:002012-03-07T14:11:54.919+01:00Oui, grand merci à Philippe Garbit grâce à qui nos...Oui, grand merci à Philippe Garbit grâce à qui nos nuits sont aussi belles que nos jours. Ainsi, cette nuit du 7 mars à 3h10, entre Francis Huxley et Pierre-Jean Jouve, un Lied tombe du ciel. On écoute, surpris, charmé, on prête l'oreille, on distingue une phrase, on consulte un moteur de recherche, on trouve, on se régale, on réécoute, et l'on se promet de chercher un CD des Lieder de Mozart et d'en offrir des exemplaires aux amis amateurs. L'effet des Nuits de Philippe Garbit sera peut-être grand, c'est l'effet papillon dans le sens d'un accroissement du beau et du bon (pas Dubonnet...) Merci à l'équipe pour cette pause avec Die kleine Spinnerin de Mozart, c'est une découverte. http://www.youtube.com/watch?v=BgJ7mqnaCYEPhilaunetnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3426319602108378766.post-62888049932805572682012-03-06T13:26:49.087+01:002012-03-06T13:26:49.087+01:00Oulà! Aurais-je affaire à un spécialiste de l'...Oulà! Aurais-je affaire à un spécialiste de l'insomnie !? Bien vu votre approche vous semblez aussi mériter le titre d'écouteur… Happy few je sais pas mais auditeurs exigeant sûrement. Merci Philippe Garbit ! (ccordinateur des Nuits de F.C.)Fañchhttps://www.blogger.com/profile/10175435973936066712noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3426319602108378766.post-1263919036930845052012-03-06T10:32:11.333+01:002012-03-06T10:32:11.333+01:00Images sonores de Yann Paranthoën. "Ça fait p...Images sonores de Yann Paranthoën. "Ça fait peur, hein ?" entend-on dire par une petite voix d'enfant. Il est vrai que l'on a entendu se dégager d'un défilé "bon enfant", un mitraillage et des tirs simulés. "Pourquoi on peut pas passer, Papa ? J'ai peur" dit à plusieurs reprises un enfant au cours d'une virée automobile urbaine à la recherche d'une place où se garer; "Oh, un vélo est garé sur les belles feuilles !" <br /><br />Le premier tableau sonore du "tailleur de sons" Paranthoën nous fait passer d'une fête foraine où l'on monte en bateau, avec rappels de ressac et de cris de mouettes, à un intérieur où l'on joue au petit train, puis de la ville au défilé festif qui, malgré les allusions à certaine guerre, finit bien, tout enveloppé qu'il est, comme le reste du tableau, du grelot d'une boîte à musique égrenant les notes d'une comptine ("Ah, vous dirai-je Maman). Étonnante conclusion dissonante avec une voix publicitaire évoquant la marche élastique et ce que l'on peut faire avec une bouche.<br /><br />Aucun discours, pas de narration, mais un assemblage de pièces liées ensemble par une fantaisie poétique. Pour les very happy few...Philaunetnoreply@blogger.com