samedi 2 février 2013

Florilège du samedi…






Je ne me soigne pas aux médecines chimiques, alors forcément quelques inhalations de plantes magiques me font vite partir dans les brumes épaisses de ma petite mécanique radiophile. Ce personnage y revient régulièrement mais je n'arrive toujours pas à lui faire franchir les portes de la maison de la radio. Immanquablement, quai Kennedy, il saute sur son traîneau et pffuit disparaît… Rosebud, ad vitam aeternam. Un autre a beaucoup agité la radio et, si Mauvais genre en parle encore, c'est bien qu'il en était un apôtre (du mauvais genre), non ? De l'apôtre au seigneur il n'y a que quelques bonnes ondes qui depuis longtemps nous tournent la tête ou plutôt l'esprit !

Autre tourneboulle, celui d'un merveilleux voyage au pays de la soul, avec toute la passion et la sensibilité à fleur de peau que sait y mettre Jeanne-Martine Vacher. Sans pouvoir rivaliser avec Janis, il peut être bon un samedi matin de chantonner cette chanson-là ! Et de prendre le temps d'écouter (et mieux de lire) les paroles.

On termine avec un joli coup de chapeau papouesque pour un grand homme de radio qui méritait d'être mis en avant tant il aurait eu sa place parmi lesdits papous. 

Nouveau : j'ai mis à jour chacun des billets proposés ci-dessus et ajouté les players-sons à chaque fois que c'était possible !

 

1 commentaire:

  1. A propos de coup de chapeau "Papouesque" j'ai cherché ici les références à Bertrand Jérôme qui me semblent trop rares à mon goût.
    Pourquoi ne pas profiter de Brest pour demander à Dame Françoise Treussard et aux Papous de parler de ce beau personnage?
    Ce serait une occasion de rendre un bel hommage à celui qu'on avait prié avec une vulgarité consommée - et avec quel mépris de l'auditeur - de "faire valoir ses droits à la retraite".
    Dans un tout autre ordre d'idée, rendre un bel hommage au travail de Renée Elkaïm-Bollinger - je pense bien sûr à la belle série "De bouche à Oreille" - ne serait pas superflu et pour une fois qu'on encenserait une personne de son vivant ça me rendrait un peu moins mélancolique.

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