lundi 21 novembre 2011

Blanc à l'antenne

 
"Mes chers auditeurs" je vous dois quelques explications de la publication différée du billet de ce matin. En déplacement plein sud je ne suis pas en sieste permanente sous les oliviers mais plutôt profitant d'un immense silence réparateur. Silence radio et éclipse rédactionnelle. Ce qui me permet de me souvenir de deux absences au micro d'Inter il y a plusieurs années déjà.

Jacques Pradel qui devait animer une émission du matin n'arrive pas à la Maison de la Radio car dans sa banlieue périphérique (sic) son gasoil a gelé. Il dit à l'antenne "sa hargne et son courroux, coucou" (1) qu'au XXème siècle on ait pas inventé un gasoil ispicial grand froid ! Quand Claude Villers racontait des histoires à 9h du matin, Monique Desbarbat constate un matin qu'il ne va pas être à l'heure pour l'émission. Elle s'affole un peu même si elle a longtemps réalisé "Pas de panique". Je crois me souvenir que pour Villers ce fût une panne exceptionnelle d'oreiller !

Si vous avez quelques anecdotes sur le sujet faites-nous en part et "A demain si vous le voulez bien "

(1) façon Desproges

2 commentaires:

  1. Bonsoir Fanch,
    Cela me rappelle l'anecdote narrée par Jacques Chancel, qui, lors d'une "Radioscopie", a attendu vainement Raymond Poulidor ! Pour combler l'absence de l'invité, Chancel passe de la musique, puis fait appel à des auditeurs sur place! (cf Mythologie de Poche de la Radio de Thomas Baumgartner). Mémorable !

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  2. Bien entendu Simone et Poulidor qui ne s'excuse même pas !

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