© EdA - Philippe BERGER |
Ce matin-là, 24 août 1916, à Monaco, avec cœur et tripes Léo chantait (déjà) la chanson du "bien-aimé". C'était comment Monaco en plein conflit mondial ? C'était comment la graine d'ananar ? C'était comment un Rocher sans la mer de Bretagne qu'il aimait tant ? C'était comment ce cri primal qui a duré 77 ans ? C'était comment la misère avec Madame ? C'était comment d'avoir un Pépé si jeune ? C'était comment les Celtiques qui partent inexorablement en fumée ? C'était comment Léo ?
C'est sans doute ce qu'aujourd'hui à France Musique Louis-Jean Calvet, Martin Pénet et Thierry Jousse évoqueront en filigranes (1). Et ce que la nuit prochaine Philippe Garbit, à France Culture, nous proposera, avec la rediffusion d'"Avec le temps : une nuit avec Ferré", soit le passage de l'an 1987 à 1988 (2) et six heures de Ferré sans fard…
(1) 7h, 9h30 et 18h,
(2) 00:43 > 06:25
"Les poètes" 1961,
Ci-dessous les liens vers mes précédents billets Ferré :
• Un dernier pour la route,
• Ferré, vingt-deux ans…
• Promo radio déguisée,
• Ferré chante la radio,
Le blog reprendra ses publications régulières à compter du lundi 29 août, 8h30
C'est chic, tu es de retour Fanch ! Quel bonheur....!!!
RépondreSupprimerGuillaume
;-) Salut Guillaume, enfin comme dirait Marguerite Duras "Moderato cantabile" ! Mais la première semaine, j'ai environ 6 billets en magasin "Soudain l'été dernier"…
SupprimerLéo... beau me dire il est vivant, inconsolable
RépondreSupprimerCe sont des chagrins de longue haleine qui se ravivent aux commémos mais qui donnent aussi de l' "Espoir" ;-)
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