Pour les gens de ma génération, un nom sonne presque plus fort que celui des joueurs : Roger Couderc. Journaliste de radio puis de télévision, commentateur sportif, et spécialiste du rugueby. Et j'ai beau ne rien n'y connaître, j'ai beau avoir eu très peu la télévision à la maison, c'est par dessus tout la voix de Couderc et son enthousiasme qui me restent dans l'oreille. Et c'est grâce à lui si le nom des grands joueurs de l'époque me sont familiers : Albaladejo, Gachassin, Spanghero… Une voix, un accent, une flamme et l'affaire est… entendue. Oui entendue. Alors pour vous la remettre dans l'oreille cette voix, vous écouterez ci-dessous.
Le Tribunal des flagrants délires de Roger Couderc, France Inter, 1983,
Et cinquante ans plus tard, voici Alexandre Mognol. Un autre ton, une autre époque, un autre mythe. À l'oreille ce n'est pas pareil. À l'oreille non, mais au cœur ?
Ah tonton Roger, il nous aura bercé avec son enthousiasme, ses exagérations sympathiques, sa bonté naturelle.On l'aimait notre Couderc. Après, sont venus le sinistre Salviac et Mathieu "lexomyl" Lartot. Triste époque ! pour les anglophones, c'était Bill Mac Laren, le Couderc de la BBC.
RépondreSupprimerIl existe une vidéo qui montre Roger Couderc boxer un importun pendant qu'il commentait un combat de catch (autre souvenir d'enfance).
Bonne fin de semaine.
Merci ;-) Ici l'explication de ma réponse tardive ! https://radiofanch.blogspot.com/2019/09/alerte-quelque-chose-coince-dans-la.html
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