mercredi 26 novembre 2025

C'est la fin… (de la radio)

Bonjour à tous (toutes) et à chacun" (1). J'avais le gros lait sur le feu depuis début août. Et le gros chagrin sur la patate car ,ce qui annoncé depuis longtemps pour la radio, devient une réalité inéluctable. De ce fait, comment poursuivre ma petite entreprise (sans aucune trace de Lia), si c'est pour billet après billet constater la fin des haricots. À quoi peut bien servir une radio sans vibration, pulsation ou juste simple satisfaction ? À rien. Ça tombe bien puisque les grands manitous de la révolution numérique (au premier chef Laurent Frisch, Directeur du Numérique à Radio France) ont tout fait pour que la mue opère radicalement vers l'émiettement d'un média global vers un média de miettes justement (podcasts à tout va). Et l'ensemble des acteurs médias d'applaudir à tout rompre (2) et le public d'avaler les couleuvres et de se prosterner vers le dit-émiettement. Alea jacta est. Un auditeur de radio, bloggeur de surcroît, n'a plus rien à dire quand la radio a disparu. Le chant du cygne… du signal radio même ! Pour ce final un genre de blog-notes doux-amère.
















Le cirque commence en juin
Avant d'entreprendre mon long feuilleton d'été Paranthoën-Giovannetti, j'avais pu lire les roucoules que la Directrice d'Inter, Adèle Van Reeth, offrait au personnel de sa chaîne, en ne sachant plus comment dire toute sa satisfaction et sa reconnaissance aux équipes pour une année FOR-MI-DA-BLE. Deux jours plus tard Céline Pigalle, Directrice de ICI (ou là), tout en remerciant ses équipes constatait, amère, la lente dégradation de l'audience de l'ex France Bleu. J'imaginais alors un couple : l'un travaille à Inter, l'autre à ICI. Le lundi c'est champagne, le mercredi c'est soupe à la grimace. C'est ce qu'on appelle la diversité du service public !

Rentrée 25-26
Aux très belles années de la radio populaire, Inter, où les titres des émissions étaient autant de pirouettes au jeu de la langue (L'Oreille en coin, pour ne citer qu'elle) l'inventivité a rendu les armes. Les mots grand et grande ont remplacé les bons mots et les tournures d'esprit. Van Reeth, si inventive a trouvé sûrement punchy d'appeler le tunnel de l'info (7-11) La grande matinale dans lequel il y a le Grand entretien et forcément les Grand-e-s journalistes pour animer cette parade… imparable. Libé (25/08), affûté, ne manquait pas dès la rentrée de s'interroger "Maintenant qu’elle s’étire de 7 heures à 11 heures, où s’arrête la matinale et où commence France Inter ?". Le comble c'est quand Van Reeth annonce que cela permet de prendre plus de temps pour développer les sujets !!!!!!! Parce qu'avant les émissions à partir de 9h étaient totalement creuses ? Cela relève de la bouffonnerie la plus caricaturale pour maquiller une totale incapacité à gérer la radio publique.

La holdingue… valdingue !
Dans le feuilleton (plus soap tu meurs !) du mécano imaginé par Rachida Dati pour fusionner l'audiovisuel public la progression semble bloquée après moults essais à rebondissements politiques et parlementaires. L'affaire est-elle entendue ? Que nenni ! Par d'autres circonvolutions dont la représentation nationale a le secret, voilà que s'annoncent quatre mois d'enquête parlementaire autour de l'audiovisuel public. Si l'on ajoute les attaques cumulées de la sphère médiatique Bolloré, on peut dire qu'on épargne rien au service public audiovisuel dont tant d'acteurs privés attendent la chute. La mue à marche forcée depuis 2014 n'y aurait pas suffi !

Mal-être profond
Le 12 novembre, toutes les sociétés des personnels de France Inter (3) ont alerté Adèle Van Reeth et la Présidente de Radio France, Sibyle Veil, d’un mal-être profond au sein de leur station, d’une radio qui perd son âme. Tiens donc ! Je ne serai donc pas le seul à constater les dégâts amorcés, sans état d'âme, dès 2014 par l'ex-Président de Radio France, Mathieu Gallet. La poudre aux yeux, aux oreilles du numérique serait donc un leurre. A big leurre, of course. La communication remplaçant définitivement le réel des contenus et la belle image du contenant.

Petit France Inter
Tiens tiens, on change de registre et d'adjectif ? Gaffe que ce Petit France Inter n'incite à moyen terme à faire muer le Grand France Inter avec une Petite matinale un Petit entretien avec de Petites émissions et forcément de Petites mains pour sa fabrique. Et attention, dans quelques jours le Tout petit France Inter débarque. De quoi donner des idées aux fossoyeurs du service public radiophonique !

This is the end (avec les hélicos de Coppola et Robert Duval)
Je peux pas tirer l'échelle sans remercier sincèrement et très amicalement Corinne, Pierre, Claude, Jacques, Maryse, Bernard, Janine, Bertrand, Caroline, Alex, Marion, Guy, Michèle, David, Josette, Thierry, Claude, Yann, Geneviève, Jean, Françoise et Gilles et une bonne palanquée de ratons-laveurs. Un salut particulier jusqu'aux étoiles à Jean-Marie Borzeix  (dir. France Culture, 1984-1997). Elles et ils m'ont donné le goût de la radio pendant soixante ans (et 2656 billets de blog). C'est une merveilleuse histoire dont je n'avais pourtant jamais imaginé la fin.

FINE

(1) Clara Candiani, "Les Français donnent aux Français", Paris-Inter puis France-Inter, 1947-1981
(2) Emilie Grangeray, journaliste au Monde, chargée de la bénédiction permanente de France Culture et de Philippe Colin dans les colonnes du journal,
(3) Journalistes, producteurs-productrices, techniciens-techniciennes, réalisateurs-réalisatrices, attaché-e-s de production,

vendredi 1 août 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 25

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode 24, ici)

Vincent Lavenu












Mardi 23 juillet 1991. Claude "Dans la montée de l'Alpe d'Huez. Vincent a donné rendez-vous à yann à la patte d'oie, à quelques kilomètres avant le sommet. Il est là avec ses filles Aurelie et Magali et ses copains. Se souvient." Vincent : "J'ai monté avec Dominique Arnault, tous les deux. on avait bien monté."

Claude : "Fin de ce projet. Tourne les pages de l'album photos [de Vincent Lavenu] Images d'enfance, de l'adolescence. Présentation de la nouvelle équipe française [décembre 91]. Vincent a engagé son équipe pour le Paris-Roubaix 1992. Et le speaker Daniel Mangeas comme d'habitude… C'est fini !"

jeudi 31 juillet 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 24

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode 23, ici)

Lemon, Fignon, TdF, 1989








Versailles-Paris (75), Dimanche 23 juillet 1989, 21è et dernière étape, 22 km
Claude Giovannetti : "Dimanche 2 juillet 1989, au Sofitel de la porte de Versailles à Paris. 10h du matin. Avant la dernière étape contre-la-montre et l'arrivée sur les Champs-Élysées. Les équipes sont arrivées la veille et dans le hall, clients et coureurs mêlés. Énormes valises et roues de vélo. accents et visages à demi-repérés. En attendant Vincent. On lui a téléphoné quelquefois pendant le Tour pour avoir de ses nouvelles. Souvenir d'un garçon pâle, au grand sourire. le même sourire toujours, marqué par l'effort et le soleil et les traces d'une chute".

Yann, s'adressant à Vincent : "Vous êtes soixante-cinquième. Vous partez vers 14h41…". Vincent : Dans l'ensemble je suis assez satisfait de mon Tour quand même. C'est à peu près la place que j'espérais faire.Je ne sais même pas si j'aurais un contrat l'année prochaine, parce qu'avec notre équipe on ne sait pas comment ça se passe. J'espère…"

"Le Tour de la France 1989, a vraiment été très beau."  Vincent : "Avec l'équipe on a été à 'hôtel et on a regardé le final Lemon-Fignon. C'était dramatique et superbe à la fois. Fignon dans la tête il est en train de perdre. Il était en avance toujours autant mais il savait que le contre-la montre faisait 22km, qu'au départ il avait 50' d'avance mais à mi-parcours il en a déjà perdu 20 ou 25. Donc il savait qu'il était peut-être en train de perdre. Tandis que Lemon c'était autre chose il était renseigné plus tard mais il savait qu'à mi-parcours il était peut-être en train de gagner."

(À suivre, demain 8h)

mercredi 30 juillet 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 23

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode, 22 ici)

Brison-Saint-Innocent (73)



Aix-les-Bains-L'isle d'Abeau (38), Samedi 22 juillet 1989, 20è étape, 127 km
En avril 92, suite des repérages : les trains se suivent, Corail, vieux train, marchandises, mais ne se ressemblent pas ! Claude : "Se lèvent enfin, les bras automatiques rayés de rouge et blanc…" Les chiens aboient mais la caravane est passée depuis longtemps. Trois ans presque. Dédée, correspondante du Dauphiné, nous raconte l'étape dans le détail comme si c'était hier.

Elle s'adresse à Laurent Fignon : "Alors Laurent qu'est-ce que tu fais, tu vas perdre ton étape et le Tour de France, et il l'a perdu là ?" Vincent raconte que c'était une étape amusante "On faisait semblant de se tromper de roue, de faire des chutes,…" 29 avril 1992, 11h10 la gare de l'Isle d'Abeau. Yann "On enregistre le passage des trains…" Claude : "Conversation au-dessus des rails en attendant le train de 11h52… Né en 1910, des mains grades comme des racines, Lucien Cotonnet nous raconte la vie de la région avant Hewlett Packard…"

"Aller Fignon, aller Laurent hurlait la foule. Le pauvre il a perdu sur les Champs Élysées ce dimanche son beau maillot d'or pour huit misérables secondes."

(À suivre, demain 8h)

mardi 29 juillet 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 22

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode 21, ici)

L'ours sur la place de Villard de Lans











Villard de Lans-Aix-les-Bains (73), Vendredi 21 juillet 1989, 19è étape, 125 km
Des cloches sonnent. "Un homme figé dans l'immobilité du pêcheur, "s'amuse" (?) de temps e temps en gestes larges et glissés au-dessus du ruisseau. Il pêche la truite à la mouche et il pleut toujours. Le chuintement des pneus plus haut sur la route."Vincent "C'était une étape importante puisque c'était la dernière étape de montagne. Je suis plus anxieux que d'ordinaire. On dit toujours que je risque d'être éliminé jusqu'au dernier col. Je gardais quand même le moral. IL n'y a pas de raison, il ne va rien t'arriver". 

Près du pont le café "Désira" où nous attend Bruna Basso (elle rit franchement). Claude : "Une écriture petite et ronde, bien formée". "Les gens font deux pas sur leur pas de porte, un coup à l'ombre, un coup au soleil. il fait chaud, certains arrivent droit de la piscine, encore étourdis d'eau. On se salue, se fait petit, au passage de cet impressionnant défilé de voitures de presse du monde entier venus se faufiler dans les lacets étroits des Gorges de la Vence (Isère). les garçons promènent fièrement leur "Petite reine" rutilante. André Dussolier prend l'air dans la décapotable d'Antenne 2. Une petite phrase au haut-parleur : "C'est regroupé qu'actuellement le peloton traverse Saint Égrève (38)". Et moi, "Une mère colorée de têtes baissées bouche soudain l'horizon entre le café à droite et la boulangerie à gauche. Fignon, Lemon, Delgado, Mottet devant aux coudes à coudes , et puis une mère de numéros aussi rapides et éphémères qu'une vague. Ils sont passés. P.S. : Vincent Lavenu, noyé dans la masse, dossard 157." Quel compte-rendu ! Bravo Bruna (de Trieste ? en Italie ?)

Claude "Un génépi et bonne nuit !"

(À suivre, demain 8h)

lundi 28 juillet 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 21

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode 20, ici)

Saint-Barthélémy de Séchiliennes (38)












Bourg d'Oisans-Villard de Lans (05), Jeudi 20 juillet 1989, 18è étape, 91,5 km
Vendredi 4 octobre 1991. Bourg d'Oisans. Claude : "Il est 8 heures, la quincaillerie est ouverte. Entrevu la veille au soir, à travers la vitrine, le long plancher et les rayonnages encombrés. Entre les outils de jardin, les pots de terre cuite, la faïence empilée, Yann ramène une fronde fixée au carton par un élastique, que l'on détache, que l'on emballe, rouge comme un jouet. Complice le quincailler en blouse grise derrière sa caisse.… [Avec Paranthoën], mêmes souvenirs d'enfance, de jeux, de Tours de France".

"Un homme s'approche de la banderole rouge du point scratch, installé au plus fort de la côte, chronomètre à la main il monte sur un escabeau. C'est le signal et la foule e lève comme un seul homme. Ils arrivent, c'est fantastique et chacun essaye d'attraper au vol toutes ces sensations qui l'assaillent. Le bruit des pneus sur le goudron chaud et celui des pédaliers réglés comme une montre suisse, la beauté des tenues multicolores et chatoyantes, lecscintillement des vélos superbes qui en feront rêver plus d'un… Des signes de fatigues, d'efforts, de déterminations sur les visages des coureurs mais il vont vite, très vite, trop vite. On n'a pas le temps de repérer ses favoris déjà ils s'éloignent avalant la côte" Cette belle envolée on la doit à une dame qui a envoyé une carte postale.

Claude et Yann constatant le soir très tard qu'ils ont oublié une lettre, Claude annonce que demain il faudra rebrousser chemin. "Et l'accordéon d'Éric Bouvel…"

(À suivre, demain 8h)

vendredi 25 juillet 2025

Le Tour de la France 1989 de Vincent Lavenu, dossard 157 : 20

C'est un beau roman (feuilleton) c'est une belle histoire. Voilà ce qu'auraient pu chanter en chœur Yann Paranthoën, Claude Giovannetti et Vincent Lavenu. Pour cette épopée du Tour de France 1989, Paranthoën et Giovannetti ont suivi toutes les étapes du Tour de France, ont accumulé, sur tous les tons des rushs, ont pris des notes et pour que le dispositif soit complet ont recueilli via La Poste, les cartes postales de celles et ceux, spectateurs de bord de route, qui avaient quelque chose à en dire. À cela ajoutons le journal de bord du timide Vincent Lavenu. Ce matériau accumulé ils ont pu produire, sur France Culture, à l'été 92, le journal-fleuve du Tour de France 1989… (L'épisode 19, ici)

Le Monêtier-les-Bains













Briançon-L'Alpe-d'Huez (05), Mercredi 19 juillet 1989, 17è étape, 161,5 km
Une dame au départ de la journée de Yann et Claude, le 1er octobre 1991. "Vous êtes charmant avec votre grand parapluie ! Il est à l'image du décor que vous traversez, c'est-à-dire il est rural… " Yann lui fait écouter le vent. "Moi, j'adore le vent au bord de la mer mais ailleurs je ne l'aime pas" dit-elle.

Les cloches sonnent. Claude : "Nous allons vers le col de la Croix de fer. Impression d'être dans une image sépia de vieux magazine sportif. Et la Croix de fer ouvragée sur son socle de pierres. 10h à l'église de Huez, Yann seul. Les cloches sonnent."

(A suivre, lundi 8h)