mardi 13 juin 2017

Layla, en arabe, ça veut dire la nuit…

Ça veut dire la nuit, "Mais c’est plus que la nuit, c’est l’ivresse de la nuit." Quelle plus belle définition pour raconter une histoire ? (1)

Lors de l'enregistrement de "Layla"
Alexandre Plank et Clémence Gross Crédits : @France Culture - RF





















La nuit commence bien ! Juillet 1998. Layla raconte. Au fil des mots, de ses souvenirs et de ses émotions. Du brut, du vrai, du sensible. Comme une nuit magnétique. Avec de la joie, une part d'insouciance et la vie simple qui court les rues. Qui renverse le jour. Qui bouscule l'établi. Layla tourbillonne. Chuchote, rit, pétille. Libre.

Au rythme du réel de cette création radiophonique j'ai pu écouter, sur le fil du rasoir du montage final, les vingt-cinq premières minutes. Séduisantes. Layla compose sa petite musique de nuit. Energique et vibrante. Alors, toutes les nuits on pourrait entendre à la radio les vibrations d'autres Layla, d'autres Émilie, d'autres Alexandre. D'autres singuliers. D'autres pluriels. Et les nuits succèderaient aux nuits. Du jour au lendemain. Avec des histoires d'ivresses nocturnes. D'ivresses pour la nuit, pour d'autres mots, d'autres paroles, d'autres images, d'autres silences, d'autres troubles. D'autres fantaisies. Douces. 

Comme Layla… ivre de vie.

(1) 23h, ce soir France Culture, L'atelier fiction…

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