Dans le désordre. Coulange est-il belge ? Non. Coulange est-il Marseillais ? Oui. Pourquoi Coulange est-il plus diffusé à la RTBF que sur Radio France ? J'en sais rien. C'est qui Coulange ? Un documentariste. Pas sûr que ça lui plaise ce titre. Je le laisse, il commentera. Pourquoi je vous parle de lui ? Car dans quelques heures je serai en Belgique à l'écoute, dans une voiture, de la Radio Télévision Belge Francophone (RTBF). Et que comme ça au saut du lit je vous propose un "son" Coulange diffusé initialement sur la RTBF. D'accord ? Raccord. Je ne suis pas seul dans la voiture va falloir quand même que ces Belges me chatouillent les oreilles pour que je les tende. (1)
Ajoutons que l'île Grande n'est pas un lieu banal pour ce blog ! Ce lieu on pourrait dire que c'est le début de l'histoire d'un certain Yann Paranthoën, inseigneur du son pour lequel les carrières dans lequel son père travaillait ont inévitablement du le marquer d'un point de vue sonore.
Pour détourner le titre du roman de Françoise Xénakis (2), j'écrirai bien : Jean-Guy Coulange, il lui dirait dans l'île. Bon allez "c'est pas l'tout des choux…", je lève le camp, je plie bagage, j'attaque la "Belgique locale" par la face nord. Oreilles aux vents.
Au réveil j'ai démarré avec Led Jam radio et j'ai swingué devant mon caféolé. Je sens bien que je vais être capable de reproduire la chose plusieurs matins de suite. Comme quoi les jours se suivent…
Demain "T'as la frite ou tu l'as pas…"
(1) Le linge… (Désolé ça m'a fait du bien),
(2) "Elle lui dirait dans l'île".
J'avais écouté (je l'ai encore en podcast) cette émission lors de sa diffusion dans Eldoradio sur la RTBF.
RépondreSupprimerJ'avais noté sur mon carnet : Ce que j'aime dans le travail de Jean-Guy : On marche dans l'eau, on entend l'essoufflement des interlocuteurs. A la fois la simplicité de la prise de son, le respect des témoins et le travail sur la mise en son du monde [je préfère cette expression au mot "documentaire" ici]. Un digne disciple de Yann Paranthoën. (eclectante sur Twitter)