La pêche et le blues. Melocoton et soul. Cris et tendresse. Colette Magny incarnait tout ça avec une hyper sensibilité à la vie, à l'amour et aux mots qui déchirent le ciel et la terre. Les femmes et les hommes. Colette Magny avait la rage absolue !
Il est très touchant qu'une jeune femme du XXIè siècle (sic), Hannah Baron, documentariste, ait exhumé cette voix, ces chansons et ces mots qu'on accrocherait aujourd'hui à nos balcons (1). Le documentaire est sensible et touchant. C'est le jour idéal pour se l'accrocher au cœur et chanter, chanter, chanter !
La joie de retrouver David Jisse qui tout en finesse approche la dame révoltée…
(1) J'ai évoqué, avec le réalisateur Vincent Decque, qu'il est difficile en cours de documentaire de "chercher" à reconnaître la voix qu'on entend, quand elle n'est plus nommée. On perd quelques secondes d'écoute (et de confort). J'espère que ça ne deviendra pas une pratique documentaire "définitive"…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire