Demain matin mon billet aura quelques couleurs musique mais en attendant vous pourriez aller voir par là et puis, si vous aimez les histoires volantes, regardez donc là, c'était un dimanche soir de mai et le vaisseau fantôme… Mais peut-être préférez-vous les pavés, pas ceux qui sont sur la plage, mais ceux d'un certain enfer du nord. Ça y est, tout de suite vous évoquez l'Apocalypse, mais c'était pour hier cet Apocalypse-là. Ici j'avais écrit une petite fiction. Là une certaine évocation de Kerouac et puis, confortablement installé sur le dictionnaire le chat écoute la radio et ne manque pas d'avis, même si l'on peut croire qu'il dort. C'est le moment, vous en prendrez bien un dernier avec Léo, pour la route.
Ou avec Marylin peut-être ou avec les Stones. Mais voilà qu'il se fait tard il serait temps de mettre le cap dans le sens des retours. Des retours de quoi ? Des retours de courrier ? Si en rentrant vous avez quelques réponses à quelques missives envoyées comme une bouteille à la mer vous aurez plus de chances que moi. En août j'avais écrit une jolie lettre à Olivier Poivre d'Arvor, directeur de France Culture, mais je n'ai reçu, à ce jour, aucune réponse. C'est vrai, dans cette lettre je posais des questions de fond, un peu l'exact contraire de ce que font les journalistes "spécialisés médias" (là je pouffe) dans la presse dite de référence (1).
Allez, pour "finir" en tragi-comique : mettez Chancel et Dali dans un salon, ajoutez-y Eve Ruggieri et vous obtiendrez un cocktail chancelant !
À demain matin, vers 10h…
(1) Le Monde et Télérama par exemple.
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