L'exact contraire de ces émissions qui tentent de décrire photos, dessins ou peinture où l'on ne voit rien, ne comprend rien pour finir par penser qu'on se fout de notre gueule. L'entre-soi de l'intervieweur et l'interviewé est excluant et horripilant. Yves Meyland, lui, nous a fait une place dans son documentaire et c'est sûrement le signe d'un grand professionnel… pour qui le micro "est à la fois une oreille, une caméra, un pinceau et une gigantesque palette de couleurs".
On quitte la Suisse pour les Deux-Sèvres, où, Klervi Le Cozic (@KlerviLeCozic sur Twitter), m'a incité à laisser traîner mes oreilles, le 8 mars, pour écouter "C'est pas sorcière" (1). Pour une fois le micro-trottoir est sympa, et ceux qui s'expriment ont pu développer leur point de vue, contextualisé et monté judicieusement entre les interventions des deux animatrices-productrices, Anaïs Pétreau et Chloé Martin, s'engageant pour un "sujet" qui devrait occuper les esprits jusqu'au 7 mars 2014, et chaque jour au-delà jusqu'à ce que l'égalité et la parité soient une réalité vécue.
(1) Décidément les sorcières sont tendance.
Demain 18h, la madeleine tout en poésie…
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